lundi 12 septembre 2011

Description d'une pièce (sur une idée de F. Debyser)

Choisissez une pièce de l'appartement ou de la maison de votre personnage et décrivez-la avec minutie.
Des mots pour décrire :
Ce qu'il y a : par terre, sur le sol, au plafond, sur les murs, aux fenêtres, sur les meubles.
Indiquer si cette pièce est : grande, petite, claire, confortable, gaie, rangée, en désordre, sombre ...
Indiquer la place des objets avec les propositions comme : sous, sur, à côté, en face de, à droite, au milieu...
Indiquer la matière des objets : en bois, en verre, en soie, en velours...
Indiquer s'ils sont : anciens, modernes, neufs, rustiques, élégants,  hideux ...
Préciser leur forme : rond, ovale, large, massif...
Utiliser les verbes de la description mais seulement deux fois" il y a ": on voit, on aperçoit, est posé, est accroché, est couvert de ...












Rencontres dans l'escalier

Les personnages se rencontrent dans la rue. Chacun a un objet un peu insolite. Les rencontres sont accompagnées de salutations, commentaires , excuses, remerciements. On utilisera aussi les temps du passé.



dimanche 11 septembre 2011

Grendet Dupuis : le Vigneron




Le vigneron deTouris
'Je m'appelle Grendet Dupuis le propriétaire de l'entreprise « Boire jusqu'au matin »,j ai 55 ans , je suis marié avec une fille de 30 ans avec qui j'aime passer mes derniers jours, j'ai une seule héritière qui s'appelle Sara je suis n& en Suisse à Sion la capitale du canton du Valais au sud de la Suisse ma famille était déchirée à cause de la séparation de mes parents quand j'avais l'âge de 13 ans alors j'ai choisi de vivre avec mon père qui était alcoolique il ne s' arrêtait jamais de boire et à cause de l'absence de surveillance j'ai bu du vin dès l'âge de 14 ans .je sortais avec de mauvaises personnes et j'ai raté mes cours à l' école et enfin je l' ai quittée àl'âge de 15 ans
La seule source d'argent pour moi était le vol , nous étions six personnes sans avenir et sans ambition .qui cherchaient n'importe quoi pour passer le temps ; on prend de la drogue pour essayer d'oublier le présent , après deux ans je me suis retrouvé en prison à cause du vol des bijoux d'une vieille femme donc j'avais 22 ans quand je suis sorti de la prison pour découvrir la mort de mon père ,j étais tellement perdu , je n'avais ni parents ni maison ni travail ni avenir .
'Mais un coup de foudre a bouleversé ma situation ,j'ai rencontr' une belle fille qui séappelle Jacqueline , celle qui m'a donné la tendresse dont j'avais besoin. Elle m'a aide à trouver un travail à la ferme de son père qui m'a appris le métier et grâce à lui j' ai construit ma vie avec sa fille que j'adore. Tous ces événements se sont produit dans un petit village qui s'appelle Saviese
Après 20 ans mon beau père est mort et ma femme était la seule héritière d'une grande fortune ,mon rêve était d'habiter dans une ville où les gens sont sympa, accueillants et admirables ,les magasins sont ouverts tout le temps et les fêtes sont organisées chaque soir ,les gens s'aiment ,et pour ma femme qui cherche toujours la paix et le luxe ,une vie pleine de merveilles et de bonheur , une vie où les mots de l'agression et de 'l'injustice n'existent pas le chien à côté du chat ,le renard à côté de la poule et l''homme à côté de la femme ,pas de guerre , il y a que l'amour qui réunit les gens et c'est pourquoi nous sommes venus à Touris

mardi 6 septembre 2011

Antoinette Dubois, médecin



Je m'appelle Antoinette Dubois. Je suis française, comme toute ma famille et je suis médecin, comme mes parents. Nous étions quatre sœurs et nous avons grandi dans une superbe maison dans la banlieue de Paris. Dans notre énorme jardin il y avait une petite source d’eau où je mettais des petits bateaux en papier que je regardais s’en aller; j’ai toujours eu l’envie de connaitre le monde, les différentes cultures, les rêves d’une petite fille qui lisait beaucoup de livres, la première de la classe. Comme nous étions nombreuses, nos parents avaient quelques employées pour s’occuper de nous et de la maison mais ils n’étaient jamais avec nous. Ils nous manquaient beaucoup mais ils disaient qu’ils avaient du travail donc nous nous sommes habituées au quotidien sans eux; de quelque façon, quand ils étaient à la maison, ils voulaient toujours se reposer ou travailler. C’est vrai que nous n’avons jamais manqué de rien mais c’est aussi important de faire partie de la vie de ses enfants. Les parents de ma mère, étaient fermiers et avaient une ferme en Bretagne, où on passait les vacances. J’ai passé de merveilleux moments chez eux avec mes sœurs. J’aimais la maison de mes grands-parents et le quotidien de la vie à la ferme mais j’aurais aimé  passer des vacances avec ma mère et mon père au moins une seule fois. Toutes les années ils prenaient des vacances ensemble et voyageaient pour se détendre ou faisaient des croisières avec leurs amis. Les parents de mon père étaient médecins et avaient été tués pendant la guerre donc il a été élevé par une tante riche qui est morte il y a longtemps. Il n’a jamais eu de vraie famille donc ses priorités ont toujours été les études; le pauvre, il avait certainement des difficultés dues à sa dure enfance parce que parfois je le voyais pleurer dans son bureau, assis sur son fauteuil. Ma mère avait deux passions dans la vie: la médecine et mon père, l’homme de sa vie; elle était simplement trop aveuglée par l’amour pour partager son mari. Ils s’aimaient tellement! Je suis l’unique médecin d’entre mes sœurs, je pense qu’elles ont eu peur de commettre la même erreur que nos parents; elles sont plus âgées et ils leur ont manqué beaucoup plus qu'à moi. Moi, j’avais mes trois sœurs pour me gâter et la vie est comme elle est. Je crois que chacun est maitre da sa vie et que mon métier n'a rien à voir avec qui que ce soit; pour être médecin il faut une vocation et je l’ai. Je suis très contente de ma profession, c’est l’unique chose dans la vie que je suis sûre d’avoir réussi. Je suis sortie de l’université avec l'envie d’aider le monde et je me suis inscrite à Médecins sans Frontières. J’ai trouvé un poste à travers lequel j’ai eu l’opportunité de réaliser mon rêve et de voyager partout dans le monde. A cette époque-là, j’avais toujours mon petit chez moi à Genève pour rétablir mes forces. J’y restais beaucoup de temps pour écrire et présenter mes résumés comme aussi pour les interminables réunions. J’aimais mon emploi, qui payait toutes mes dépenses et beaucoup plus, mais je détestais la politique dans l’organisation où tout était compliqué : c’est toujours facile de trouver de l’argent pour les recherches mais pas pour le travail de terrain. C’était ça la partie plus ennuyeuse de mon travail et je préférais beaucoup plus être dans un camp de refugiés travaillant avec presque rien. Le bonheur que le sourire des gens m’apportait est inoubliable! Après 20 ans à Genève, j’ai commencé à penser à retourner dans mon pays et à mener une vie plus calme. Comme je n’avais pas encore eu l’envie de prendre ma retraite, j’ai trouvé un poste de travail ici et c’est pourquoi je suis venue à Touris, une ville très calme et agréable à vivre et où tout le monde est très sympa.

lundi 5 septembre 2011

Claire Hazoume Amateur de cuisine



Je m’appelle Claire Hazoume. Mais mes amis m’appellent « Cachou la chef ». En référence à ma passion pour la cuisine. Je viens d’une grande famille avec beaucoup d’enfants, les uns légitimes et les autres adoptés, avec des grands-parents, des tantes, des oncles, des cousins, des cousines etc. C’était une famille de presque quarante personnes. On aurait dit la population de tout un village dont j’étais la fille la plus âgée. La tradition de ma région en Afrique faisait que les filles et les femmes s’occupent de tout ce qui concerne la maison, comme le ménage et les enfants. Alors que les hommes travaillent soit à la ferme ou au bureau. Etant la fille ainée de la famille, j’étais obligée de faire beaucoup de choses à la fois, comme le ménage, préparer les repas, faire les courses, m’occuper des enfants etc. Mais de toutes les tâches celle que j’aimais le plus c’était la cuisine.
Avec le temps, pour approfondir ma passion pour la cuisine, j’ai suivi des cours de cuisine. Ces cours étaient très passionnants. Ce fut l’occasion d’un grand voyage culinaire à travers le monde. J’ai ainsi appris à faire des plats d’un peu partout dans le monde, par exemple des plats thaïlandais, japonais, chinois, indiens, péruviens, chiliens, italiens, malgaches, angolais.
Aujourd’hui, profitant de mon séjour linguistique en France, je prends aussi des cours de cuisine, cela m’a permis de découvrir des plats régionaux typiques comme la tartiflette, la fondue savoyarde, la fondue bourguignonne, le civet de lapin, , etc.
J’ai aussi découvert la tarte tatin qui est un dessert fabuleux.
J’aime beaucoup faire la cuisine et je pense que tout le monde devrait apprendre à cuisiner au moins cinq plats d’un pays étranger. Vive la cuisine !!!

Marbourg Avocat


Han Shuqin B2/C1

Je m’appelle Jean Pierre. C'est un prénom français trop commun donc mes potes m'ont donné le surnom Marbourg à cause de mes racines..

Chaque fois que quelqu’un m’appelle, ca me fait penser à une ancienne ville dans le nord-est de la France. Elle s’appelle Marbourg. Cette ville aura toujours une place spéciale dans mon cœur. Mes grands parents sont nés à Marbourg mais pendant la première guerre mondiale, ils se sont séparés. Pour raison de sécurité, ma grand-mère a déplacé toute ma famille dans le sud de la France alors que mon grand-père est resté à protéger leur propriété.

Peu de temps avant que la guerre se termine, ma grand-mère s’est remariée. Donc, pendant mon enfance, j'ai grandi sans l’affection de mon grand-père ce qui était bizarre. J’ai toujours posé des questions sur cet endroit merveilleux ou mystérieux (Marbourg) qui avait tenu captif mon grand-père. Mais, ma grand-mère ne m’a rien dit. J’imaginais une petite maison sur le sommet d’une montagne, entourée des nuages…

A ma grande surprise, pendant mon dixième anniversaire, ma grand-mère m’a dit que je pouvais rendre visite à mon grand-père à Marbourg. J’étais bouleversé d’y aller. La ville était isolée, alors j’ai mis 6 heures pour monter sur la montagne. Le chauffeur m’a dit qu’après la deuxième guerre mondiale, la seule entrée à Marbourg avait été bloquée jusqu'à 10 années auparavant. Enfin, nous y sommes arrivés. Quand j’ai marché sur le sol de Marbourg, il y avait un sentiment stupéfiant. Devant moi, était une scène presque pareille à celle de mes rêves surtout les nuages, la petite maison en bois. En plus, il y avait une ferme avec des tomates et des choux. Des chevaux et des chèvres paissaient tranquillement dans le champ à proximité. Tout à coup, j’ai remarqué un fragile et vieil homme assis dans un fauteuil à bascule en train de fumer un cigare dans la petite maison en bois. Enfin, nous avons eu la chance précieuse de nous rencontrer. Il m’a dit qu’il avait passé presque toute sa vie seul. Mais, il ne s'était pas senti solitaire. Le bétail et la nature étaient ses compagnons. Il avait passé la plupart de son temps en faisant le bricolage et conservant la maison. Cette maison était une architecture authentique qui avait survécu à la deuxième guerre mondiale.

Personnellement, je peux bien comprendre ce qui a attiré grand-père et l'a fait rester tout seul. C’est pourquoi j’adore Marbourg. Marbourg est l’endroit préféré dans lequel j’aurais aimé grandir. Tout est parfait, la tranquillité, la paresse, la proximité de la nature. C’est vraiment un monde idéal en solitude.

Après cette visite, jusqu'à présent, je passe sans exception chaque vacances là, même pendant mes études en droit. Actuellement, je suis très occupé comme un avocat, j’ai toujours essayé de consacrer du temps pour y aller Je souhaiterais que dans l’avenir, mes enfants soient également attirés par la beauté intacte de Marbourg.

Francois Pillado Aromathérapeute






Une autobiographie de Francois Pillado de Touris

Je m'appelle Francoise Pillado. Je viens de Paris mais il y a longtemps que j'habite là-bas. J'étais journaliste qui écrivait des articles sur les sujets de guerres et de désastres naturels partout dans le monde. Par exemple, j'ai écrit des articles sur la famine en Ethiopie, le génocide au Rwanda, la guerre civile au Kosovo et le tsunami en Indonésie, parmi d' autres. Le dernier article que j'ai écrit c'était sur le tremblement de terre au Pakistan en 2005. Après cet expérience, j'ai décidé de prendre ma retraite plus tôt et de retourner en France pour devenir aromathérapiste à Touris!

Je sais que ce changement semble complètement bizarre. Mais, la vérité est toujours plus étrange que la fiction. Avant d'avoir décidé de devenir journaliste, j'avais fait un cours en Inde pour apprendre la médecine alternative et naturelle. Après ce cours, j'étais restée en Inde et j'avais pratiqué la médicine alternative. A cette époque, j'avais découvert une affinité pour l'aromatherapie en particulier. En Inde, il y a beaucoup de fleurs et de plantes qui les gens utilisent comme des médicaments naturels – comme des huiles essentielles ou des parfums – et cette tradition existe jusqu'à maintenant là-bas.

Un jour, un jeune homme intellectuel et beau est venu dans ma clinique pour un traitement d'aromathérapie. J'ai eu le coup de foudre pour lui. Il m'a dit qu'il était photo-journaliste et après le traitement, il est parti en Ethiopie à cause de son travail. Dans un moment de folie, j'ai décidé de quitter mon travail en Inde et l'ai accompagné en Ethiopie ou j'ai decouvert un autre de mes talents – écrire des articles pour des journaux et magazines! Et voila, mon histoire comme journaliste a commencé alors même que ma romance avec le jeune homme a fini.

Et, maintenant, après une vie pleine d'aventures, je veux rester dans une ville calme et belle, parmi des gens conviviaux et familiers, et c'est la raison pour laquelle j'ai choisi Touris. C'était aussi un bon moment pour retourner à ma première profession d'aromathérapie que j'aime pratiquer ici en utilisant des fleurs méditerranéennes qui sont complètement différentes de celles qu'on trouve en Inde et dans d' autres pays tropicaux.